Chirurgie de la cataracte en images Docteur Damien Gatinel
Chirurgie de la cataracte en images Docteur Damien Gatinel
Une augmentation de la production de cytokines inflammatoires (IL-2, TNF-α) résultant de l’exposition aux UV a également été retrouvée au cours du développement du ptérygion. Qu’elle soit de Placido ou d’élévation, la topographie vise à mesurer la régularité et la symétrie de la cornée. Dans tous les cas, celles-ci se trouveront altérées en cas de perturbations de la surface oculaire, source d’une déformation des images apparaissant souvent sous la forme d’une mosaïque de couleurs labile d’un examen à l’autre et liée à une cassure du film lacrymal et/ou une altération de la surface cornéenne.
Les affinements de la procédure ont transformé le capot cornéen en une poche offrant l’avantage de diminuer la taille de l’effraction de la surface oculaire dans le but de diminuer la quantité de nerfs cornéens sectionnés et de mieux respecter l’intégrité de l’épithélium comparé à un Lasik [4]. Il s’y ajouterait des avantages potentiels concernant le maintien d’une biomécanique cornéenne prémunissant plus efficacement la cornée d’une ectasie secondaire [5]. Vérifier ce bénéfice apporté exigera un recul au long cours de séries élargies. La chirurgie réfractive regroupe toutes les techniques visant à offrir l’indépendance aux lunettes aux patients amétropes.
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L’analyse topographique permet d’ailleurs de confirmer la normalité de l’hémiméridien temporal opposé (fig. 12-47). Cette accumulation lacrymale est responsable d’un effet prismatique dont la base est orientée vers la tête du ptérygion et le sommet vers l’apex cornéen. Cet effet du film lacrymal est mis en évidence par une différence significative de l’astigmatisme cornéen avant et après tamponnement des larmes [30]. Il ne peut être en tant que tel considéré comme une exploration de la surface oculaire.
- Dans ce ptérygion nasal, la mire du kératomètre n’est déformée que sur le versant nasal, siège d’un lac de larmes stagnant entre l’apex cornéen et la tête du ptérygion surélevée.
- Si la phase de détersion est trop importante, il y a un risque de perforation.
- Dans tous les cas, la solution idéale pour limiter les effets indésirables des médicaments est de toujours chercher à « déprescrire », c’est-à-dire alléger autant que possible les ordonnances aux seuls médicaments réellement indispensables pour le patient.
SOS syndrome par inflammation de l’interface favorisée notamment par la sécheresse oculaire. Le découverte d’un cas de xérophtalmie doit systématiquement entraîner la recherche de facteurs de risque dans la collectivité dont est issu le cas, afin d’entreprendre éventuellement un traitement préventif collectif. Si plus de 30 % des enfants de moins de 10 ans présentent un trachome actif, l’ensemble de la population est traité une fois par an pendant 5 ans. Si la prévalence est comprise entre 10 et 30 % le traitement de masse n’est institué que pour une période de 3 ans.
II Stéréochimie des molécules
Des énantiomères ont les mêmes propriétés chimiques sauf vis-à-vis des autres molécules
(récepteurs) chiraux. Si on représente son image dans un
miroir, ces 2 représentations sont superposables. Il y a 80% de la conformation anti et 20% de conformation gauche, cela ne signifie pas que la
conformation d’une molécule particulière est fixée une fois pour toutes. Dans la représentation de Cram on place les 2 liaisons dans le plan puis celle dehors du plan,
il existe plusieurs représentations certains ne sont pas valable.
Le principal responsable de ce type d’atteinte est l’amiodarone, traitement anti-arythmique de classe III découvert en Belgique dans les années 1960. Son caractère amphiphile (une extrémité polaire, une autre apolaire) explique en grande partie son affinité pour les membranes cellulaires et sa capacité à former des complexes avec les lipides. Cette étape vise à retirer les masses et cellules épithéliales stéroïde à vendre adhérentes des parois internes du sac capsulaire, afin d’ assurer la transparence la plus grande possible de ce sac avant insertion de l’implant. L’encombrement stérique joue un rôle très important dans les conformations des molécules mais
aussi dans les réactions qu’elles peuvent subir et c’est aussi un facteur très important dans l’activité
biologique des médicaments par exemple.
Malgré des recherches considérables, le kératocône reste une maladie mystérieuse dont la physiopathogénie exacte n’a pas encore été élucidée. Les facteurs environnementaux comme le frottement des yeux [1] ou l’allergie [2] jouent vraisemblablement un rôle important. L’implication de la génétique ne fait aucun doute, comme en témoigne la fréquence des formes familiales [3]. L’atteinte cornéenne au cours d’une exposition à de hautes températures est rare (1–5 %).
Ces manifestations surviennent en période de forte pollution et dans certaines situations météorologiques particulières (fortes températures, vitesses du vent faibles). Elles ne sont pas sans conséquences sur la qualité de vie, la productivité et les dépenses de santé. L’implant dont le diamètre total est proche de 12 mm (6 mm pour l’optique) est préalablement placé dans une seringue d’injection, puis injecté de manière contrôlée au travers de l’incision principale dans le sac capsulaire rempli de substance visco élastique. A l’image des chantiers de villes du pandémonium, le réacteur perd chaque jour un certain nombre de points de structure.
La toxicité de certains médicaments peut s’exercer de manière indirecte [3]. C’est le cas par exemple des antibiotiques, des antiviraux et des corticoïdes qui entraînent une modification de la flore microbienne conjonctivopalpébrale. Certains effets passent par une altération du film lacrymal qui va indirectement perturber la surface oculaire. Pourtant, pour peu que l’on y prête plus d’attention ou que l’on utilise des outils d’évaluation plus fins, la surface oculaire et par là même le confort des patients sont souvent beaucoup plus touchés par les traitements locaux.
cours de chimie organique 1- -S3 ( .pdf
La tolérance des lentilles de contact est d’autant meilleure que la sensibilité cornéenne est diminuée [19]. Une excellente adaptation est indispensable afin d’éviter des zones d’appui et de conflit, source d’aggravation du kératocône et de fibrose. L’analyse de la surface oculaire et de l’image fluoroscopique sous LRPG est donc primordiale et sera développée dans un chapitre dédié.
Chapitre 3 – Stéréohimie des molécules
Comme alternative à la greffe de limbe, il est possible de cultiver ex vivo des cellules souches limbiques à partir d’un microprélèvement de limbe (1 mm × 3 mm) [67, 68]. Cette technique permet parfois d’éviter le recours à l’allogreffe même si l’atteinte est bilatérale (un prélèvement limbique de petite taille restant envisageable sur un œil ayant subi une brûlure modérée). La technique associant excision et autogreffe conjonctivale semble présenter en revanche le moins de récidives avec des taux de 2 à 39 % pour les ptérygions primaires [58, 59].
Il est également possible d’effectuer une transposition conjonctivale au moyen d’un lambeau pédiculaire supérieur ou inférieur ayant fait l’objet d’une rotation pour fermer le lit du ptérygion (fig. 12-51). Réalisée sous anesthésie locale avec de la lidocaïne non adrénalinée par voie sous-conjonctivale, l’excision doit être complète sur une zone de 4 à 6 mm en arrière du limbe afin d’éviter les rétractions secondaires [35]. L’objectif est d’obtenir une surface parfaitement lisse et régulière après une hémostase soigneuse.